[FamilleOnline] Maman Online nous a mis à la porte...

Un vendredi soir... pas comme les autres. Celui où tout s'effondre. Celui où tu t'attends à tout... sauf à ça. Vendredi soir, en rentrant dans notre cocon... rien. La porte est fermée : les enfants et moi, nous sommes à la porte.

Un jour plus tôt, Maman Online et moi, nous fêtions nos 9 ans de mariage. Autrement dit, les noces de faïence. Cette dernière se serait-elle cassée en 24 heures chrono ? La question est posée. Toujours est-il qu'en rentrant avec les enfants, on se retrouve tous les quatre face à un mur. Pas moyen de rentrer dans notre "chez nous". Maman Online n'est pas là. Elle ne répond pas à mes nombreux messages. Rien. Nous sommes dehors, dans le froid. SDF* (sans domicile familial).

Cela faisait plusieurs semaines que cela devait arriver. Le stress, la fatigue, les études, le travail. Sans compter les enfants, adorables mais qui demandent tant d'attention. Mais pourquoi nous avoir mis à la porte ? Pourquoi ne pas discuter et trouver, ensemble, des solutions ? Quelle mouche peut l'avoir piqué pour nous traiter comme cela ? Moi, passe encore... mais les enfants quoi ?!?

Cette histoire me dépasse. C'est pour cela que, pour une fois, je prends ma plume. Et j'écris. Marre de faire tout ce que je peux pour le bien de tou-te-s. Marre de m'acière tous les soirs pour rentrer le moins tard possible et passer un bon moment avec nos enfants. Marre de me retrouver comme un con derrière une porte fermée à clef tout ça parce que Maman Online a oublié de me rendre "ma" clef (l'info principale est là^^). Marre... Marre... Marre... Oui vous l'avez compris donc, rien de bien alarmant : on s'est juste retrouvés tous les quatre, comme des idiots, derrière la porte fermée, pendant 5 heures, tout cela pour une "faute d'inattention". Car au final, celle qui était la plus gênée... c'est bien ma jolie chérie ! Les enfants et moi, on a finalement passé un superbe moment... chez les voisins d'abord (qui nous ont gentiment "hébergé" lol), au McDo ensuite.

Franchement, si un jour j'aurai imaginé qu'on me mettrait à la porte. M'enfin...